Deux microforêts urbaines sortent subitement de terre

Selon le concept mis au point par un célèbre botaniste giapponese, la ville d’Agen vient d’installer deux microforêts dans il quartier de la piscine. Ce ne sont Certainement pas les dernières.

Miyawaki, ce nom n’est pas courant dans l’Agenais. À ne pas confondre avec le célébrissime dessinateur et producteur de film Miyazaki. Cependant que lui aussi est un artista giapponese. Botanico più esattezza. Il est à l’origine du concept qui n’en finit pas de s’exporter dans le monde entier de la microforêt urbaine.

Akira Miyawaki est né en 1928 au Japon et il y est devenu un eminente botanico, specialista dell’ecologia delle foreste. Il est décédé le 16 juillet dernier en laissant derrière lui un vero patrimonio di un concept nouveau de forêts urbaines, à planter sur des petite surface et suivant une forte densité végétale pourous lesté végétale pourous, la planter acci aux quire . La cadenza est très rapide. De sorte que le résultat se voit vite, en quelques années seulement.

À Agen, Christophe Mornet, chef du service “espaces verts et nature en ville” accompagna Clémence Robert, première adjointe à la mairie d’Agen, ont planché sur ce concept nippon et ne l’ont pas trouvé mauvais.

“Il ne faut pas lutter contre la nature en ville”

Ils se sont rendus à Tolosa, dans une zone urbaine où ce type de microforêt a été installé et ont eu envie de le tester à Agen. D’autres grandes villes l’ont adopté, Parigi, Nantes, Bordeaux, Mulhouse et Tolosa.

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“Il ne faut pas lutter contre la nature en ville, il faut l’accompagner”, c’est ainsi que Christophe Mornet voit les Chooses. Et avec ce concept de microforêt naturelle, où l’homme n’intervient pour ainsi dire jamais, où chaque variété se débrouille pour s’en sortir, non pas dans un esprit de concurrence mais plutôt d’ententles autres les vecè des espaces verts a de quoi vérifier sa philosophie.

“Nous vulions végétaliser notre quartier”

Lorsque les élus agenais chargés des quartiers, dont Claire Rives et Mickaël Geslot, et bien sûr Clémence Robert, ont proposé au quartier 11 cette “alternative à l’alignment d’une seule essence d’arbres”, Mortnet reçilophe une réponse absolument positive. “Nous vulions végétaliser notre quartier”, indique le président du 11 Dorian Terran.

L’idée que cet espace soit colonisé par la nature comme bon lui semble, sans “ordre” selon la notion humaine d’un espace vert maîtrisé, ne les a pas le moins du monde dérangés.

“Tout revient finalement à cette réflexion que nous menons depuis plusieurs années sur la place de la nature en ville : qu’est-ce qui est accettabile et qu’est-ce qui ne l’est pas”, explique Clémence Robert qui a souvent dû expliquer qu’au pied des arbres poussaient des “fleurs sauvages” et qu’elles allaient y rester.

La natura fait donc son petit bonhomme de chemin en coeur de ville. Les brins d’herbes sont mieux acceptés. Jusque dans les cimetières. “Celui de La Capelette est complètement enherbé, comme un cimetière anglosassone. Il est magnifique. Il faut le voir au printemps!tant, ce n’était pas gagné vis-à-vis de la population. laisser de l’herbe à certes endroits ne plaît pas à tout le monde.”

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Côté entretien de ces cimetières : “On tond. Et vous savez, c’est quand même plus valorisant pour les agent de voir, à la fin de leur travail, un résultat si joli, plutôt que juste des cauteilloux”, ou a du béton Christophe Mornet.

Des repères de vie pour la microfaune

Les deux microforêts installées quartier 11, dans des espaces de friches, inconstructibles car trop petits, de part et d’autre de l’Avenue d’Italie à l’intersection de la rue Santarem, comportent des espèces localis que l’on retrouve nos sous-bois : aliziers, prunelliers, cornouillers sanguins, érables champêtres, chênes pédonculés…

Leur effect de climatiseur naturel se fera indéniablement sentir aux heures chaudes de l’été. Elles filtreront égallement les particules fines en suspension, produiront de l’oxygène, canaliseront le trop-plein d’eau qui ruisselle, accueilleront bien sûr la microfaune et les insectes. Et d’ailleurs, il n’est pas impossibile que les enfants du quartier 11 y installent quelques nichoirs…

“Une sacrée bonne idée qu’ils ont eue là”, commentait hier une voisine venue suivre de loin la conférence de presse organisée pour la présentation.

Au fait, le banc installé au milieu de la microforêt est fait du tronc d’un cèdre de La Salève qui, hélas en mauvais état, avait dû être abattu. Rien ne se perd…

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About the Author: Drina Lombardi

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